Klopp révèle ce qu’il a dit à Guardiola

L’entraîneur de Liverpool, Jürgen Klopp, a dévoilé ses mots à Josep Guardiola, à l’issue du choc de la 28e journée de Premier League conclu dimanche par un nul à Anfield.

Liverpool et Manchester City se sont quittés bons amis. Dimanche, dans l’antre d’Anfield, Reds et Citizens n’ont pas réussi à se départager dans cette principale affiche de la 28e journée de Premier League (1-1). Un résultat qui ne permet pas à l’un des deux mastodontes de frapper un grand coup dans la course au titre de champion d’Angleterre, la belle opération du weekend étant signée par Arsenal. Venus à bout de Brentford (2-1), les Gunners de Mikel Arteta s’emparent de la première place à égalité avec le club des bords de la Mersey et une longueur d’avance sur les hommes de Josep Guardiola.

Dès le coup de sifflet final, une image a fait le tour de la planète football. Rivaux sur le terrain, Jürgen Klopp et Josep Guardiola se respectent en dehors et ont échangé quelques mots face aux caméras. Un joli moment de complicité sur lequel est revenu le technicien allemand, par ailleurs remonté sur une décision arbitrale. L’ancien manager du Borussia Dortmund a été invité par les journalistes à relayer son échange avec l’Espagnol, après ce qui constituait sans doute leur dernière affrontement puisque a été communiqué le départ en fin de saison de Jürgen Klopp.

Liverpool : Klopp enrage sur une décision arbitrale ! https://t.co/cz1ohkT8m8

— Top Mercato (@TopMercato) March 10, 2024

Klopp veut garder le contact avec Guardiola

” Tout d’abord, c’est privé. Même quand c’est dans un stade de football et que rien ne changera le monde. J’ai dit que nous nous respections beaucoup l’un l’autre et qu’après notre carrière, nous deviendrons amis d’une manière ou d’une autre. C’est un golfeur, je ne le suis pas, mais il est espagnol et pourrait jouer au padel. Nous jouerons au padel, nous parlerons et nous aurons de grandes discussions sur des matchs de football sensationnels et des choses incroyables. Nous l’avons beaucoup dit, nous respectons beaucoup cela, mais les mots qu’on s’est dit étaient privés.”