Football

première offre repoussée pour une pépite

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Pour l’Olympique lyonnais, battu par Rennes vendredi soir (2-3), le mercato n’est pas du tout terminé. Un départ d’un jeune formé au club pourrait survenir dans les prochaines heures.

Ce jeudi, Pierre Sage a indiqué clairement la feuille de route de l’OL pour la fin du mercato hivernal : “un joueur offensif, un défensif et un ou deux au milieu“, tout cela dans le sens des arrivées, pour compléter un effectif jugé court, du moins en termes de qualité. Le club rhodanien, après sa défaite du week-end, qui fait suite à celle du Havre le 14 janvier, englue Lyon à la 16ᵉ position du classement du championnat de France.

Par ailleurs, le technicien ne serait pas contre le départ de deux éléments : Skelly Alvero et Sinaly Diomandé.

RB Salzbourg fait une offre

Pierre Sage pourrait voir son souhait exaucer, puisque le deuxième cité est suivi de près en Autriche. Selon les révélations de L’Équipe, le RB Salzbourg a transmis à l’Olympique lyonnais une proposition de prêt, avec une option d’achat non obligatoire de 6 millions d’euros. Le board du club entre Rhône et Saône a refusé cette offre, dans l’espoir d’avoir “plus” dixit le quotidien sportif.

À l’heure actuelle, le défenseur central ivoirien, qui n’est plus apparu sur le terrain avec l’OL depuis le 26 novembre, le coach ne lui faisant pas confiance, est estimé à 7 millions d’euros par le site spécialisé Transfermarkt, alors que son contrat court jusqu’en 2025. Si la formation autrichienne se base sur la valeur du joueur via ce site, comme John Textor a dit le faire lui-même pour les transferts du club français, Lyon ne devrait pas recevoir une offre substantiellement supérieure pour son joueur.

Deux départs en perspective ?

Dans le même temps, le milieu Skelly Alverto (21 ans) est suivi en Allemagne, précisément par le Werder Brême. Le club, 9ᵉ de Bundesliga, a également approché l’OL pour un prêt avec option d’achat dans la semaine, sans que de nouvelles informations sur cette opération ne sortent dans les médias.

Ce qui est sûr, c’est que cela va encore bouger à Lyon avant le 1ᵉʳ février.

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