Football

“Tout ça n’est pas sérieux”, Hidalgo tacle Nasser Al-Khelaïfi !

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Alors que le feuilleton autour de l’avenir du Parc des Princes se poursuit, la maire de Paris a confirmé, dans les colonnes de Ouest France, son refus de vendre l’enceinte de 48 000 places au Paris Saint-Germain. Anne Hidalgo en a également profité pour régler ses comptes avec le président du club francilien. 

Outre son rêve de remporter enfin la Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain entretient un autre immense projet depuis de nombreuses années : celui d’être propriétaire de son stade. Le Parc des Princes, actuelle enceinte des Rouge et Bleu, demeure en effet sous le contrôle de la Mairie de Paris. Voulant réaliser de grands travaux afin d’augmenter la capacité du stade de la Porte d’Auteuil, le club de la capitale souhaiterait racheter le Parc des Princes à son actuel propriétaire; problème de taille, la Ville de Paris n’a absolument pas l’intention de céder son bien.

PSG : Anne Hidalgo ne cédera pas le Parc des Princes

Répondant aux questions de Ouest France, Anne Hidalgo l’a une nouvelle fois confirmé. “Tout ça n’est pas sérieux. J’aime le foot, j’aime mon équipe. Je le répète : nous sommes prêts à étudier et accompagner des transformations du Parc. Je le redis aussi aujourd’hui et une bonne fois pour toutes : il n’y aura pas de vente du Parc des Princes, c’est le patrimoine des Parisiennes et des Parisiens. Le sujet est clos”, a ainsi expliqué la socialiste auprès du quotidien régional.

Cette nouvelle prise de position d’Anne Hidalgo intervient quelques semaines après une prise de parole de Nasser El-Khelaïfi durant laquelle le boss du PSG avait lourdement attaqué la mairie de Paris. “Il ne veut pas qu’on le rachète, peut-être parce qu’on est du Qatar, peut-être parce qu’on est Arabes ? Ce n’est pas bien. Je pense que même légalement, il ne peut pas dire ça. C’est grave. Vraiment. Je ne sais pas ce qu’en dit l’avocat mais c’est grave, s’était ainsi interrogé l’homme d’affaire qatari sur les ondes de RMC Sport, “des propos outranciers”, selon Anne Hidalgo.

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