Mbappé recalé par deux clubs

Kylian Mbappé aurait essuyé les refus de deux clubs anglais. L’attaquant du PSG demanderait trop pour leurs finances.

Le suspense est à son comble concernant l’avenir de Kylian Mbappé. Nombre de médias ont affirmé que l’attaquant avait choisi de rejoindre le Real Madrid. Mais ces dernières heures, Jérôme Rothen et un journaliste qatari ont affirmé qu’il n’avait pas encore pris de décision.

Outre-Manche, certaines sources ont confirmé que des discussions avaient eu lieu avec des formations de Premier League. The Independent affirme que les exigences de l’enfant de Bondy ont refroidi deux clubs : Arsenal et Liverpool.

Le média précise que les Gunners et les Reds ont refusé de s’aligner sur les exigences du joueur, pour des raisons budgétaires. Il ne fait en revanche pas mention de Manchester United, où l’attaquant a été annoncé avec Zinedine Zidane il y a quelques mois.

Kylian Mbappe’s transfer to Real Madrid hits stumbling block https://t.co/YvcdmTASc1

— Indy Football (@IndyFootball) February 5, 2024

Une prime à la signature de 150 M€ ?

Si Kylian Mbappé paraît prêt à s’assoir sur l’offre énorme du PSG (a priori 100 millions d’euros par saison) pour rejoindre le Real Madrid, il ne semble pas pour autant disposé à brader ses services. Le média Talk Sport a quant à lui révélé que le clan du Parisien négociait aussi très fort avec la formation de Florentino Perez.

Mbappé tenterait d’obtenir une prime à la signature de 150 millions d’euros, soit bien supérieure à celle annoncée ces dernières semaines (plutôt de l’ordre de 115 millions). Son montant, qui serait certainement lissé sur plusieurs saisons, pourrait notamment compenser un salaire très en deçà de ce que proposerait le PSG. Daniel Riolo estimait récemment que la formation madrilène ne proposerait pas plus de 30 millions d’euros par an au Français.

Le PSG a-t-il abandonné l’idée de retenir son meilleur joueur ? Cela paraît peu plausible. Compte tenu des antécédents entre les Parisiens et les Madrilènes, on peut supposer que les premiers tenteront de négocier jusqu’au dernier moment. Au moins pour obliger les seconds à débourser le plus possible.